Overblog
Edit post Follow this blog Administration + Create my blog

lacoste , longchamp , lancel

Posted on July 23 2014

Les habitants du LibanSud reviennent eux aussi, dans leurs véhicules bondés, brandissant les drapeaux jaunes du Hezbollah. Les Israéliens ont eux disparu comme par enchantement. Mais, moins d'une semaine après la fin de la sixième guerre israéloarabe, suspendue par un cessezlefeu au bout de trentequatre jours, la paix reste précaire. Rien n'a été réglé entre Israël et le Hezbollah. L'échec tactique de Tsahal, transformé en victoire symbolique par le Hezbollah, a été la seule raison de la suspension des hostilités. Le Hezbollah a accepté le redéploiement de l'armée libanaise, mais clame haut et fort sa victoire. Israël a accepté le cessezlefeu en demandant que le Hezbollah se retire au nord du Litani, sans que cette vision en deux dimensions de son adversaire n'ait de véritable signification. sac longchamp pliage cuir
sac longchamp pliage cuirD'abord parce que le fleuve côtier n'est parfois qu'à quelques kilomètres de la frontière israélienne de haute Galilée. Et surtout parce que les combattants du Hezbollah n'ont pas quitté les villages frontaliers dont ils sont originaires. Les forces des Nations unies n'ont pas été dotées du mandat impossible qui les autoriserait à imposer par les armes la paix entre les belligérants, ni de la force militaire qui leur permettrait de le faire. Équilibres fragiles Les autorités libanaises, divisées entre un président ouvertement proSyriens et un gouvernement impuissant, ont fini par déployer, avec l'accord d'un Hezbollah quasi autonome, leur armée au LibanSud, mais sans avoir ni les moyens ni la volonté de désarmer les combattants chiites. Et dans les ruines de leurs villages, décorées par des nouvelles banderoles victorieuses à la gloire du Parti d'Hassan Nasrallah, les combattants du Hezbollah sont tous là. Leurs armes remisées dans leurs caches, ils patrouillent librement à scooter ou dans leurs BMW noires, des talkieswalkies à la ceinture. La question de l'existence sur le sol libanais du quasiÉtat du Hezbollah, capable de déclencher à son gré une guerre avec une puissance étrangère, reste donc entière. Sac a main Longchamp Pliage pas cher Sac a main Longchamp Pliage pas cher La reprise du dialogue interlibanais, qui piétinait déjà au début de l'été sur ce problème, avant d'être ajournée par le déclenchement des hostilités lors de l'enlèvement de deux soldats israéliens sur la frontière, reste la seule issue envisageable pour ramener la paix au Liban. Mais les capacités d'un État libanais aux équilibres fragiles, devenu malgré lui, depuis trente ans, le dernier champ de bataille du monde arabe contre Israël, de pouvoir régler seul cette question, apparaissent déjà comme très limitées. après avoir annoncé son intention de diriger la nouvelle force des Nations unies au Liban, s'est limité à l'envoi symbolique de hommes, n'est pas définitif. La France se réserve le droit de revoir ses ambitions à la hausse si les garanties qu'elle exige lui sont apportées. Jacques Chirac a réitéré ces conditions jeudi soir au téléphone avec la chancelière allemande Angela Merkel. Il faut que soient éclaircis les «missions, règles d'engagement, chaîne de commandement et moyens de cette force». Les Français s'inquiètent du fait que la Finul élargie ne soit pas placée sous le chapitre VII de la Charte de l'ONU, qui permet un usage de la force dans des conditions dépassant la simple légitime défense. longchamp sac pliage degriffé
longchamp sac pliage degrifféIls redoutent que leurs soldats soient pris entre les feux du Hezbollah et de l'armée israélienne. Ils réclament des assurances sur le désarmement de la milice chiite. Audelà de ces soucis qui paraissent légitimes, certains responsables français, notamment à l'étatmajor, vont plus loin et posent un problème de principe : ils se demandent si la France, malgré sa connaissance du Liban, est la mieux placée pour diriger la nouvelle Finul, étant donné ses relations conflictuelles avec la Syrie et les désaccords qui l'opposent à l'Iran sur le dossier nucléaire, les deux régimes qui soutiennent le Hezbollah. Quelles que soient ses motivations, le recul français a placé les Nations unies et les gouvernements occidentaux dans l'embarras. Paris, très actif dans la négociation diplomatique pendant la guerre, a utilisé pendant un mois l'argument militaire sa participation, revendiquée, à la future force pour imposer son point de vue. Beaucoup ont donc du mal à comprendre l'attitude française. Le président américain George Bush a demandé hier à Paris d'envoyer plus d'hommes au Liban.

Comment on this post